Buraco colossal
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O SILÊNCIO À VOLTA DA MEMÓRIA


Em “relação às contas na Suíça, julgo que o assunto está mais do que esclarecido.
Há para lá umas contas na Suíça, há para lá umas pessoas que têm contas na Suíça.
O engenheiro José Sócrates – o que se demonstra com as contas na Suíça – é que não tem nada a ver com as contas na Suíça”
João Araújo 29/05/2015


Á ESQUINA DO MONTE CARLO


HERBERTO, A AVENTURA nos eternos

- Este blog voltou ao activo hoje dia 10 de Junho de 2015. -

E ponde na cobiça um freio duro,
E na ambição também, que indignamente
Tomais mil vezes, e no torpe e escuro
Vício da tirania infame e urgente;
Porque essas honras vãs, esse ouro puro,
Verdadeiro valor não dão à gente.
Melhor é merecê-los sem os ter,
Que possuí-los sem os merecer.

Camões / Lusiadas


Isto não há nada como acenar com medalhinhas para ter sempre clientela.

sexta-feira, 7 de maio de 2010

françois fillon parle de la situation portugaise

Paris confiant dans la riposte de l'UE contre la spéculation

vendredi 7 mai 2010 16h57

par Elizabeth Pineau

PARIS (Reuters) - A quelques heures du sommet des pays de la zone euro, la France a affirmé vendredi sa confiance en la capacité des Européens à contrer les attaques spéculatives contre la monnaie unique par une solidarité "absolue" avec la Grèce.

Face aux risques de contagion, Paris a apporté un soutien appuyé au Portugal, visé par les spéculateurs, en distinguant nettement la situation de ce pays de celle de la Grèce.

Le Premier ministre français, François Fillon, s'est entretenu avec son homologue portugais, José Socrates, à l'occasion d'un séminaire intergouvernemental à Paris.

Au terme d'une semaine de turbulences sur les marchés financiers, qui craignent un "effet dominos" avec la crise grecque, François Fillon a assuré que le Portugal ne pouvait être comparé à la Grèce, confrontée à une grave crise financière et budgétaire nécessitant l'aide de les pays de la zone euro et du Fonds monétaire international.

"Il n'y a aucune raison aujourd'hui de spéculer contre le Portugal ou contre l'Espagne, ça ne correspond à rien", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse commune avec son homologue portugais.

"La situation du Portugal n'a rien à voir avec celle de la Grèce, ni en termes de déficit, ni de dette ni même des perspectives économiques ou des efforts réalisés pour ajuster sa situation économique", a souligné François Fillon.

Dénonçant lui aussi une spéculation sans "aucun fondement économique", José Socrates a déclaré qu'il n'hésiterait pas à prendre des mesures pour défendre l'économie nationale et qu'il ne craignait en rien des troubles sociaux, comparables à ceux de la Grèce.

"La spéculation financière contre notre pays est une spéculation qui n'a aucune justification", a-t-il souligné, confirmant la poursuite au Portugal d'investissements - écoles, barrages, hôpitaux, routes, etc. - qui "contribuent à la reprise de notre économie et à l'emploi".